Pourquoi opter pour l’assurance vie ?
Assurance vie : un placement sécuritaire
En pleine crise financière, mieux vaut être certain de récupérer sa mise. Avec l’assurance vie, pas de souci.
Les contrats en euros permettent en effet d’être certain de ne pas perdre le capital investi. Et ce n’est pas forcément le cas de tous les investissements surtout si l’on regarde du côté de la Bourse.
Cànoter : Dans un contrat assurance vie en euros, le capital investi, net de frais, est garanti par l’assureur. De plus, les intérêts sont définitivement acquis et s’ajoutent au capital. C’est ce qu’on appelle « l’EFFET CLIQUET ».
Assurance vie : un placement rémunérateur
Avec un RENDEMENT moyen de 4 %, l’assurance vie détrône largement son concurrent direct, le livret A qui plafonne à 1, 75 %. Et même en tenant compte de l’inflation, faible ces derniers temps, le rendement réel avoisine 3,90 %. Un taux record, inégalé depuis 10 ans, aux dires des spécialistes.
Un placement libre
Les versements sur un contrat d’assurance vie sont librement décidés avec l’assureur, en une seule ou plusieurs fois (mois, trimestre…).
Il est, bien évidemment, possible de programmer son investissement dans le temps. Mais tout épargnant peut envisager des versements libres en fonction de ses possibilités.
Un placement disponible
Même si le placement sur une assurance vie est optimisé au bout de 8 ans, l’assuré peut disposer avant des sommes placées par le biais de la technique du RACHAT ou de l’AVANCE.
Un placement souple
L’assuré peut facilement changer de support au sein d’un même contrat, notamment lorsqu’il s’agit d’un contrat multi-support : opter pour plus de sécurité ou, au contraire, plus de risques. Il peut aussi passer d’un CONTRAT EN EUROS à un CONTRAT EN UNITES DE COMPTE en conservant ANTERIORITE FISCALE.
Assurance vie, défiscalisée… en partie
Dans la corbeille de l’assurance vie on retrouve la défiscalisation, argument majeur pour ce placement. Ainsi, pour les contrats conclus depuis 1997, la sortie en capital bénéficie d’une exonération annuelle de 4 600 € (personne seule) et 9 200 € (couple marié).
Pour éviter d’être imposé vous limitez le rachat partiel de votre assurance vie à ce montant.